10/02/2014, 12:22
L’expression d’Actéon, bras croisés, reste neutre lorsqu’il répond à Scylla :
« Lélios était mon prisonnier, il était prévenu que je l’abattrais s’il tentait de s’enfuir. J’ai tout fait pour lui laisser une chance de garder la vie sauve, mais je ne pouvais pas le laisser libre et risquer ainsi la vie d’autres innocents. Le seul responsable de son sort actuel, c’est lui. »
Puis le chasseur pousse un profond soupir.
« Je suis fatigué de votre aveuglement… Vous ne le voyez peut-être pas, mais je suis votre seul allié ici, tous les autres veulent voir Lélios puni pour ses actes. Moi-même, je répugne à fermer les yeux sur les nombreux crimes qu’il a commis, pourtant je suis prêt à l’amener à Euryskos, par respect pour sa sœur, en espérant que l’éducation du satyre lui ouvrira les yeux et qu’il finira par se repentir d’une manière ou d’une autre. »
« En nous accusant de lâcheté et de cruauté, vous nous insultez tous, et ça, je ne peux pas l’accepter, pas après que Thermodossa, Agrias et moi-même avons risqué nos vies tant de fois, pas après que Thamyris a sauvé tant de vies — y compris celle de ce garçon auquel vous tenez tant. Vous voulez un brancard ? Présentez vos excuses, et je le fabriquerai. »
« Lélios était mon prisonnier, il était prévenu que je l’abattrais s’il tentait de s’enfuir. J’ai tout fait pour lui laisser une chance de garder la vie sauve, mais je ne pouvais pas le laisser libre et risquer ainsi la vie d’autres innocents. Le seul responsable de son sort actuel, c’est lui. »
Puis le chasseur pousse un profond soupir.
« Je suis fatigué de votre aveuglement… Vous ne le voyez peut-être pas, mais je suis votre seul allié ici, tous les autres veulent voir Lélios puni pour ses actes. Moi-même, je répugne à fermer les yeux sur les nombreux crimes qu’il a commis, pourtant je suis prêt à l’amener à Euryskos, par respect pour sa sœur, en espérant que l’éducation du satyre lui ouvrira les yeux et qu’il finira par se repentir d’une manière ou d’une autre. »
« En nous accusant de lâcheté et de cruauté, vous nous insultez tous, et ça, je ne peux pas l’accepter, pas après que Thermodossa, Agrias et moi-même avons risqué nos vies tant de fois, pas après que Thamyris a sauvé tant de vies — y compris celle de ce garçon auquel vous tenez tant. Vous voulez un brancard ? Présentez vos excuses, et je le fabriquerai. »