17/04/2011, 17:47
J'ai juste démarré!
Pour rebondir sur le côté "gênant" du héros qui ne se pose pas assez de question de morale, je pense qu'il y a un truc pour le contourner (on verra après que ce n'est sans doute pas une si bonne chose, malheureusement).
Et ce truc, c'est pour moi le côté GTA (avec la liste des armes, et l'achat de ces armes).
Du coup j'ai décidé de vivre cette aventure un peu comme si je jouais au jeu vidéo (ou Mafia, car ce GTA like existe, même si je n'y ai jamais joué), plutôt que de "vraiment" incarner le héros.
Cela me permet donc d'édulcorer le côté amoral du héros et de l'accepter, puisque je ne l'incarne pas vraiment. Mais du coup je pars sur une voie qui édulcore aussi l'atmosphère intrinsèque sombre de l'histoire, car tout se passe comme si je ne la prenais pas assez au sérieux...
J'ai l'impression que pour vraiment apprécier l'atmosphère que tu veux installer, il faudrait que le personnage se pose plus de questions, soit plus tourmenté (un peu comme celui de OS3-1). Du coup la violence générale passerait mieux, on pourrait mieux s'identifier au héros qui se sentirait tout de même mal dans sa peau après ses actes. Là, son acceptation plutôt sans concession de ses actes rend l'incarnation plus délicate, et peut faire que certains choisissent comme moi de "rester à une certaine distance", et du coup perdre une bonne partie du sel de l'histoire.
Pour résumer, si je joue cette aventure sérieusement, je suis géné par mon personnage. Si je joue "cool", je ne suis plus gêné mais je passe à côté de l'atmposhère que tu as voulu instaurer.
Cruel dilemme!
Pour rebondir sur le côté "gênant" du héros qui ne se pose pas assez de question de morale, je pense qu'il y a un truc pour le contourner (on verra après que ce n'est sans doute pas une si bonne chose, malheureusement).
Et ce truc, c'est pour moi le côté GTA (avec la liste des armes, et l'achat de ces armes).
Du coup j'ai décidé de vivre cette aventure un peu comme si je jouais au jeu vidéo (ou Mafia, car ce GTA like existe, même si je n'y ai jamais joué), plutôt que de "vraiment" incarner le héros.
Cela me permet donc d'édulcorer le côté amoral du héros et de l'accepter, puisque je ne l'incarne pas vraiment. Mais du coup je pars sur une voie qui édulcore aussi l'atmosphère intrinsèque sombre de l'histoire, car tout se passe comme si je ne la prenais pas assez au sérieux...
J'ai l'impression que pour vraiment apprécier l'atmosphère que tu veux installer, il faudrait que le personnage se pose plus de questions, soit plus tourmenté (un peu comme celui de OS3-1). Du coup la violence générale passerait mieux, on pourrait mieux s'identifier au héros qui se sentirait tout de même mal dans sa peau après ses actes. Là, son acceptation plutôt sans concession de ses actes rend l'incarnation plus délicate, et peut faire que certains choisissent comme moi de "rester à une certaine distance", et du coup perdre une bonne partie du sel de l'histoire.
Pour résumer, si je joue cette aventure sérieusement, je suis géné par mon personnage. Si je joue "cool", je ne suis plus gêné mais je passe à côté de l'atmposhère que tu as voulu instaurer.
Cruel dilemme!