08/05/2011, 04:13
Je ne suis pas tombé sur le PFA en question (j'avais la main brûlée au troisième degré, ce qui ne m'incitait pas à prendre des risques). Lorsque je l'ai découvert en lisant les paragraphes que j'avais manqué, mon opinion a été que Fitz n'avait tout simplement pas envie de nous laisser tuer le personnage en question. Je ne peux pas vraiment le blâmer : lorsque j'étais Maître du Jeu, il y avait un certain nombre de personnages que je m'arrangeais toujours pour empêcher mes joueurs de tuer...
C'est une utilisation logique dans les grandes batailles, où l'important était de maximiser la portée de tir. J'imagine que les archers de l'époque ajustaient leur angle de tir en fonction de la distance à laquelle se trouvait l'ennemi et se livraient ensuite à un tir nourri sans se préoccuper de viser une cible précise.
Il me semble que les arbalétriers s'abritaient parfois derrière des pavois (portés par les bien-nommés porte-pavois). Ca devait être un peu encombrant tout de même...
Ca m'avait amusé d'apprendre que l'arbalète avait fait l'objet d'un interdit (absolument pas respecté) de la part de l'Eglise, qui n'appréciait pas qu'elle permette au premier péquin venu de dézinguer un chevalier en armure.
(07/05/2011, 17:48)Lyzi Shadow a écrit : l'arc long était pas DU TOUT un arc de précision. C'est juste un arc super puissant, dont la flèche transperce une armure de part et en part, et qu'on utilise presque uniquement en tir en parabole pour faire tomber une masse de flèches sur l'ennemi.
C'est une utilisation logique dans les grandes batailles, où l'important était de maximiser la portée de tir. J'imagine que les archers de l'époque ajustaient leur angle de tir en fonction de la distance à laquelle se trouvait l'ennemi et se livraient ensuite à un tir nourri sans se préoccuper de viser une cible précise.
Citation :Alors qu'en réalité, une arbalète c'est beaucoup plus précis et beaucoup plus facile à apprendre à manier qu'un arc. Son gros défaut (raison pour laquelle les arbalétriers français se sont faits poutrer par les archers longs anglais), c'est la lenteur. Apparemment fallait 300 ans et dix minutes pour en réarmer une sur un champ de bataille.
Il me semble que les arbalétriers s'abritaient parfois derrière des pavois (portés par les bien-nommés porte-pavois). Ca devait être un peu encombrant tout de même...
Ca m'avait amusé d'apprendre que l'arbalète avait fait l'objet d'un interdit (absolument pas respecté) de la part de l'Eglise, qui n'appréciait pas qu'elle permette au premier péquin venu de dézinguer un chevalier en armure.