Bon alors je parle expérience Antianera, je excuse si parle pas très bien la langue...
J'arrête, c'est trop fatigant. Nous jouons donc une femme immigrée, ce qui déjà constitue un bel handicap dans la Grèce patriarcale et jalouse de sa culture. Mais bon, on est une reine quand même, la reine de Scythie, et malgré quelques difficultés à maîtriser la langue héllène on jouit d'une belle réputation dans les cercles avertis.
Il s'agit de la dernière production de la licence "Grèce Antique" qui se fait de nos jours beaucoup plus rare que Marvel ou Harry Potter (ce qui pour certains explique pourquoi les Grecs sont tellement endettés, alors que pour Marvel et J. K. Rowling ça va merci...) Je me souviens encore avec émotion des aventures d'Althéos, notamment le premier tome, un de mes ldvelh préférés dans ma jeunesse, que je n'ai pas encore refait. Et, si mes souvenirs sont émoussés, je dois avouer que l'ambiance m'a là encore beaucoup séduit.
Le thème de l'aventure est politiquement incorrect, puisque nous devons aider le dieu Héphaïstos à remettre le grappin sur son épouse qui soi-disant se ferait culbuter en cachette. Evidemment, et comme nous incarnons une femme, on peut se dire "et après tout il l'a peut-être bien cherché", mais une mission de dieu grec ça ne se refuse pas (et puis il faut l'honorer, je l'ai appris à mes dépens...) surtout quand il y a une grosse récompense à la clé.
Nous voilà donc embarquée sur un navire à parcourir l'archipel des Cyclades (merci la carte !) pour localiser la volage épouse. Chaque île possède sa sépécificité et le temps est décompté par les points d'ERRANCE dont l'accumulation augure de graves emmerdes, ce qui m'a poussé à accélérer la fin de l'aventure.
Personnellement j'ai choisi de jouer sans les dés, et le système est bien foutu, tellement que je pense qu'un jour je vais le pomper (à vrai dire j'avais en tête un truc un peu similaire pour une AVH à venir). Les points d'Héroïsme nous permettent de franchir la difficulté des tests, ça tombe bien j'ai bénéficié d'un artefact qui permet (trop rarement) de recharger son héroïsme.
Le reste sous spoiler
En bref, je peux déjà dire que "Cyclades" est une très belle réussite même si j'en attends encore davantage aux prochains essais (peut-être pas tout de suite, Yaz obligent), je ne sais pas si je retenterai Antianera ou un autre personnage.
Bravo !
J'arrête, c'est trop fatigant. Nous jouons donc une femme immigrée, ce qui déjà constitue un bel handicap dans la Grèce patriarcale et jalouse de sa culture. Mais bon, on est une reine quand même, la reine de Scythie, et malgré quelques difficultés à maîtriser la langue héllène on jouit d'une belle réputation dans les cercles avertis.
Il s'agit de la dernière production de la licence "Grèce Antique" qui se fait de nos jours beaucoup plus rare que Marvel ou Harry Potter (ce qui pour certains explique pourquoi les Grecs sont tellement endettés, alors que pour Marvel et J. K. Rowling ça va merci...) Je me souviens encore avec émotion des aventures d'Althéos, notamment le premier tome, un de mes ldvelh préférés dans ma jeunesse, que je n'ai pas encore refait. Et, si mes souvenirs sont émoussés, je dois avouer que l'ambiance m'a là encore beaucoup séduit.
Le thème de l'aventure est politiquement incorrect, puisque nous devons aider le dieu Héphaïstos à remettre le grappin sur son épouse qui soi-disant se ferait culbuter en cachette. Evidemment, et comme nous incarnons une femme, on peut se dire "et après tout il l'a peut-être bien cherché", mais une mission de dieu grec ça ne se refuse pas (et puis il faut l'honorer, je l'ai appris à mes dépens...) surtout quand il y a une grosse récompense à la clé.
Nous voilà donc embarquée sur un navire à parcourir l'archipel des Cyclades (merci la carte !) pour localiser la volage épouse. Chaque île possède sa sépécificité et le temps est décompté par les points d'ERRANCE dont l'accumulation augure de graves emmerdes, ce qui m'a poussé à accélérer la fin de l'aventure.
Personnellement j'ai choisi de jouer sans les dés, et le système est bien foutu, tellement que je pense qu'un jour je vais le pomper (à vrai dire j'avais en tête un truc un peu similaire pour une AVH à venir). Les points d'Héroïsme nous permettent de franchir la difficulté des tests, ça tombe bien j'ai bénéficié d'un artefact qui permet (trop rarement) de recharger son héroïsme.
Le reste sous spoiler
Bravo !