Deux excellents choix !
J'ai tendance à penser que le premier album des Doors est leur meilleur, avec cette concentration de très bon titres assez invraisemblable (Crystal Ship, Light my Fire, The End...Il faudrait presque tout citer !).
Remarquons que c'est souvent le cas des premiers albums, pour lesquels un lent affinage des titres par la scène permet d'arriver à un répertoire très convaincant. Les deuxièmes albums déçoivent, car ils doivent être produits à la va-vite après le succès du premier.
Pour Electric Ladyland, je pense que c'est un disque intéressant mais un peu trop "dispersé" à mon goût pour faire un chef d'oeuvre (on s'ennuie un peu pendant 1983...). Il contient quand même des titres mythiques (Voodoo Child (Slight Return), All Along the watchtower, Voodoo Chile avec Winwood aux claviers et Casady à la basse...).
Mon dernier achat personnel, c'est une arlésienne du rock : le live de BBA, aka Beck, Bogert and Appice (sorti à l'époque uniquement au Japon, à pas réédité ailleurs depuis), un power trio monté par le grand Jeff Beck avec la section rythmique ultime (Bogert et Appice, ex Vanilla Fudge et Cactus). L'ensemble donne des morceaux très virtuoses, qui atteignent facilement le niveau du Jimi Hendrix Experience ou de Cream (ou de Led Zep) dans la perfection instrumentale. Il leur manquait sans doute un Pete French au chant pour réellement casser la baraque.
J'ai tendance à penser que le premier album des Doors est leur meilleur, avec cette concentration de très bon titres assez invraisemblable (Crystal Ship, Light my Fire, The End...Il faudrait presque tout citer !).
Remarquons que c'est souvent le cas des premiers albums, pour lesquels un lent affinage des titres par la scène permet d'arriver à un répertoire très convaincant. Les deuxièmes albums déçoivent, car ils doivent être produits à la va-vite après le succès du premier.
Pour Electric Ladyland, je pense que c'est un disque intéressant mais un peu trop "dispersé" à mon goût pour faire un chef d'oeuvre (on s'ennuie un peu pendant 1983...). Il contient quand même des titres mythiques (Voodoo Child (Slight Return), All Along the watchtower, Voodoo Chile avec Winwood aux claviers et Casady à la basse...).
Mon dernier achat personnel, c'est une arlésienne du rock : le live de BBA, aka Beck, Bogert and Appice (sorti à l'époque uniquement au Japon, à pas réédité ailleurs depuis), un power trio monté par le grand Jeff Beck avec la section rythmique ultime (Bogert et Appice, ex Vanilla Fudge et Cactus). L'ensemble donne des morceaux très virtuoses, qui atteignent facilement le niveau du Jimi Hendrix Experience ou de Cream (ou de Led Zep) dans la perfection instrumentale. Il leur manquait sans doute un Pete French au chant pour réellement casser la baraque.