SpoilerD100 : 16
D6 : 6
pour l'instant j'ai une veine de cocu on dirait. Cela me change de d'habitude

Spoiler100 % à la hachette en effet! 3/3 ça mérite un surnom!

SpoilerTu n'as pas la compétence connaissance des plantes au contraire de Harbull par exemple.

J'en profite pour te faire un petit topo sur ta nation natale Laurélorn une des nations elfiques de ce monde.

Dans le nord de l’Empire, la forêt de Laurelorn est la demeure des Elfes Sylvains qui y vivent en reclus. Bien que cette forêt soit revendiquée à la fois par le Middenland et par le Nordland, les Elfes ont toujours mis ces deux provinces au défi d'imposer leur domination.
Ainsi, le cœur de leur forêt est resté inviolé, en dépit des Nains, des Peaux-Vertes, des humains, et même des Hommes-Bêtes en maraude. Les dirigeants humains du Nordland et du Middenland ont bien tenté de revendiquer cette forêt mais ils ont appris - en le payant fort cher - à y réfléchir à deux fois avant de tenter de mettre leurs revendications en application. Désireraient-ils seulement chasser sous les frondaisons de cette forêt que les maîtres de ces provinces devraient d'abord demander la permission des elfes avant de tuer le moindre lapin.
C'est tout au moins ce que leur fierté et le sentiment de leur grandeur perdue conduisent les Asrai à penser. Mais derrière leurs manières hautaines et leur désinvolture, les Elfes Sylvains de Laurelorn savent bien qu'ils vivent dans l'Empire et que c'est avec l'Empire qu'ils doivent traiter. Au fond de leurs cœurs et de leurs esprits, dans les moments où ils peuvent se livrer à une calme introspection, ils reconnaissent qu'ils sont un peuple moribond, bien loin du Chêne des Âges d'Athel Loren, et qu'ils ont besoin de la protection de l'Empire et de son humanité grouillante. Ayant admis cette amère vérité, certains Elfes Sylvains ont décidé de mettre fin à leur isolation pour entrer dans l'Empire, ne serait-ce que pour s'assurer que les humains ne causent pas leur propre perte et celle de tout ce qui les entoure.
Les rares impériaux qui s'aventurent dans la forêt de Laurelorn savent que leur vie dépend du bon vouloir des Elfes… et ils ne trouvent pas cela réconfortant.

Spoiler( Ylemort il faut que tu te lâches! Tilie n'a pas besoin de la permission des autres pour tenter d'interroger la créature! C'est très bien pensé de ta part. Cependant achever quelqu'un ne se fait pas pour ton personnage avec désinvolture! Tilie est choquée par cette violence c'est la première fois! C'est votre premier combat. Certes il y a Wolfram qui semble prendre un malin plaisir à planter des hachettes sur tout ce qui bouge mais quand même! Ce sont des monstres et il y en avait même un qui mangeait l'enfant avant votre arrivée! Je considère que tu tentes d'interroger la bête. Mais si tu l'achèves ce ne sera pas tranquillement.

Tu sais mon jeune ami , parfois je vais à la ferme , j'achète un mouton ou autre(pour la viande) et je l'égorge sur place. Ce n'est pas anodin quand je ramène quelqu'un avec moi qui n'a pas l'habitude ni pour moi quand c'était les premières fois! La première fois la main tremble croit moi!

Alors imaginons Tilie qui est une personne lettrée et qui se retrouve à achever une créature humanoïde! Je l'imagine pas dire "vous voulez que je l'achève tranquille?" Ce geste s'accomplirait mieux si il était accompagné de rage ou peut être même de compassion pour cette créature en train d'agoniser...du genre.

"Je ramasse l'épée de cette créature avec prudence sans la relâcher du regard. Puis tout en me relevant je contemple le triste spectacle je m'arrête particulièrement sur le cadavre du pauvre enfant innocent et là une bouffée de rage m'envahie! De colère j'abat mon épée sur cette misérable créature..."

Cependant ton personnage est peut être destiné à accomplir de grandes choses peut être qu'un jour ce genre de scène deviendra banal mais en attendant n'oublions pas que Tilie était pétrifiée de peur lors de l'attaque de la première créature...)

Spoiler D'accord, j'ai d'ailleurs changer le âssage ou je dis tranquillement et change mon attitude qui effectivement ne collait pas dans cette situation.