Rendez-vous au 1

Version complète : La campagne impériale.
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Je m'avance vers les cavaliers (car je suis de ceux qui ne se sont pas cachés) en leur disant:
Holà noble cavaliers, pourriez vous nous venir en aide, cette caravane a été attaquée par quelques monstres que nous avons estourbi...Malheureusement il n'y a pour seul survivant qu'un certain Kastor actuellement en train de faire ses besoins plus loin... Si vous pouviez nous aider à enterrer dignement ces pauvres hères qui ont été massacrés par les monstres, nous vous en serions très reconnaissant, nous même souhaiterions procéder ainsi mais votre aide serait la bienvenue...N'ayez crainte nous ne sommes point des bandits, mais plutôt des aventuriers, d'ailleurs nous voyageons à l'intérieur d'un coche qui se trouve un peu plus loin sur la route...
À l'adresse des cavaliers :

Gens d'armes, bien content de vous voir !

On faisait route vers Altdorf dans la diligence un peu plus loin, en compagnie de dame Isolde, quand on découvert ce massacre. Ça pue le chaos tout ça !

Ça me rassure d'être en bonne compagnie, de fois qu'il y aurait d'autres saloperies aux alentours !
Je m'avance en saluant les patrouilleurs jusqu'à terre "C'est tout à fait cela, nobles cavaliers; les autres membres de notre groupe fouillent les environs immédiats au cas où d'autres monstres s'y cacheraient; quant à notre diligence vous y trouverez les cochers et les autres passagers qui s'y sont enfermés peureusement. Harbull Pédipoil, herboriste, à votre service."
@mj
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(Et Wolfram?)
@MJ
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Les patrouilleurs ruraux vous écoutent attentivement tout en examinant attentivement les lieux de l'embuscade. L'officier dit se nommer Magnus Albrecht. Il vous explique que ces hommes bêtes sont des mutants et sans doute des adorateurs du chaos véritable fléau qui infeste le coeur des forêts de l'empire. Il exprime son inquiétude quant à la recrudescence de telles embuscades sur les routes.

Hultz et Gunnar eux sont allés récupérer les chevaux de votre diligence qui se trouvaient dans une clairière non loin et après de longues minutes la diligence est fin prête pour repartir.

Tandis que les patrouilleurs entassent les corps dans l'autre diligence y attellent une partie de leur chevaux. Pour inhumer les corps près de la prochaine auberge.

Sur le chemin vous croisez une diligence en route pour Nuln puis un détachement de cavalerie. La route semble sûre et un peu avant la tombée de la nuit vous atteignez l'auberge relais des sept rayons.

Elle est beaucoup plus fréquentée que la précédente et trois diligences s'y trouvent déjà. En remerciement pour vos services Hultz et Gunnar vous offre le gîte et le couvert.

Dame Isolde son garde du corps Marie et sa servante Janna changent de diligence et dès l'aube prennent la route pour Altdorf.

Un peu plus vous tard vous reprenez vous mêmes la route. Elle est désormais très fréquentée et c'est à la tombée de la nuit que vous arrivez en vue de la capitale de l'Empire: Altdorf.

Altdorf est la capitale de l'empire et la plus riche de ses cités. Depuis la périphérie vous pouvez apercevoir le palais impérial qui se dresse au dessus du Reik(fleuve) et domine la ville de ses mille feux.

Vous pénétrez la cité par la porte nord où des gardes vous prélèvent un droit de passage qui s'élève à 1 pistole par jambe. Soit deux pistoles par personne.

Enfin la diligence s'arrête sur la Königplatz une immense place qui surplombe le fleuve. Elle grouille encore de monde. Dès que vous descendez de la diligence vous êtes assaillis par des cris qui viennent de tout les côtés.

Angelino! La meilleure auberge de la ville! Venez à l'auberge du chat violoniste la meilleure cuisine et les meilleurs lits de toute la ville!

Vous voilà enfin à Altdorf.

N'oubliez pas de déduire les deux pistoles et de partagez les 40 couronnes que Harbull possède à moins que vous décidez de l'engraisser un peu plus...
Puisqu'il est autant dire nuit, je suggère de trouver une auberge, et là nous pourrons faire nos comptes à tête reposée et arrêter une ligne de conduite.
- Pourquoi pas en effet... Voyons voir si j'arrive à me rappeler du nom d'une auberge correcte d'Altdorf...

@tous : j'estime que nous avons eu le temps de discuter un peu en route, de faire davantage connaissance, et de peaufiner quelques automatismes afin de paraître soudés pour notre prochain entretien d'embauche.
Quant à des explications sur mon sosie et la lettre, j'ai fait comprendre à mes compagnons que je ne désirai pas en parler pour l'instant, "tant que certains points obscurs de cette affaire compliquée n'étaient pas encore éclaircis". Et qu'en attendant, tous pouvaient continuer à m'appeler Wolfram... mais de garder le silence sur cette histoire de sosie. En effet, j'ai fait comprendre à mes compagnons qu'il n'était pas inenvisageable que mon sosie ait été tué non pas par les Hommes-Bêtes, mais par autrui, en lien avec une histoire d'héritage de propriété. Le silence est notre meilleure protection contre d'éventuelles tentatives d'assassinat à mon encontre.

@MJ :
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@wolfram
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Pour ma part, je ne cache pas que cette cité grouillante, ces rues animées et bruyantes, cette foule affairée, me tournent la tête et me fatiguent, étant habitué au silence et à la solitude des vastes forêts :
- Je suis bien d'accord, trouvons un endroit où nous reposer et nous restaurer, la nuit tombe et je suis prêt à payer le prix pour un endroit calme et confortable, un bon repas et une nuit tranquille. Par contre, ces rabatteurs m'insupportent, on dirait une nuée de mouches... Nous devrions pouvoir trouver une auberge par nous-mêmes, ce n'est pas ce qui doit manquer autour d'une telle place...
@MJ
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@Tous :

Wolfram semble occupé à essayer de se rappeler le nom d'une auberge potable en marmonnant dans sa barbe ...
- Le Homard Noir ? Hum non. La Lance Tordue ? Non. Ce n'est pas non plus l'Auberge du Dragon Rouge, ni la Taverne du Rat et du Furet. La Taverne du Cochon Bleu ? Le Chass'Elfe ? Le Cercle de Fer ? L'Auberge du Sanglier Noir ? La Taverne des Aventurier ? Non plus. Oh et puis zut après tout !
Tandis que vous essayez de déterminer où vous allez passer la nuit vous remarquez deux citadins s'approcher de vous.

L'un d'eux scrute la foule comme si il faisait le guet. L'autre fixe Wolfram tout en se grattant l'oreille gauche avec l'auriculaire droit.
Je me gratte l'oreille gauche avec l'auriculaire droit aussi.

Si il fait mine de partir, je l'interpelle...
Les deux hommes se regardent visiblement étonnés. Les deux fixent Wolfram et le premier insiste en se grattant l'oreille gauche avec l'auriculaire droit.
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